Journal Spirite 103
*Frais de port inclus.
Comme nous l’expliquons régulièrement dans nos revues, nous vivons sur une planète encore bien inférieure et nous pouvons aisément le comprendre au vu de tout ce qui s’y passe. La faim, la haine, les guerres, les catastrophes, dominent et nombreux sont les hommes qui meurent de façon violente, sans passer le tunnel qui les conduirait vers l’au-delà. Ils restent, comme nous l’enseignent les Esprits guides, dans un état dit de trouble. Le temps s’arrête pour eux et ils revivent sans cesse l’ins- tant de leur mort, recréant par leurs pensées, l’environnement qu’ils ont quitté, mais dont ils restent proches, ressentant encore les souffrances des derniers instants.
*Frais de port inclus.
Comme nous l’expliquons régulièrement dans nos revues, nous vivons sur une planète encore bien inférieure et nous pouvons aisément le comprendre au vu de tout ce qui s’y passe. La faim, la haine, les guerres, les catastrophes, dominent et nombreux sont les hommes qui meurent de façon violente, sans passer le tunnel qui les conduirait vers l’au-delà. Ils restent, comme nous l’enseignent les Esprits guides, dans un état dit de trouble. Le temps s’arrête pour eux et ils revivent sans cesse l’ins- tant de leur mort, recréant par leurs pensées, l’environnement qu’ils ont quitté, mais dont ils restent proches, ressentant encore les souffrances des derniers instants.
*Frais de port inclus.
Comme nous l’expliquons régulièrement dans nos revues, nous vivons sur une planète encore bien inférieure et nous pouvons aisément le comprendre au vu de tout ce qui s’y passe. La faim, la haine, les guerres, les catastrophes, dominent et nombreux sont les hommes qui meurent de façon violente, sans passer le tunnel qui les conduirait vers l’au-delà. Ils restent, comme nous l’enseignent les Esprits guides, dans un état dit de trouble. Le temps s’arrête pour eux et ils revivent sans cesse l’ins- tant de leur mort, recréant par leurs pensées, l’environnement qu’ils ont quitté, mais dont ils restent proches, ressentant encore les souffrances des derniers instants.