Journal Spirite 108
*Frais de port inclus.
En soixante ans d’une vie, nous aurons passé en moyenne vingt ans à dormir et cinq ans à rêver, ce qui est considérable. Paradoxalement, nous ne nous intéressons en général que trop peu à ce tiers de notre vie, pressée à l’état de veille pour gagner la course contre la montre du quotidien. C’est pourtant cette principale partie de nous-mêmes, dont nous n’avons pas conscience, qui se met à l’œuvre chaque nuit, et qui révèle peu à peu ses mystères, au fur et à mesure de notre évolution, des récits des rêveurs, des recherches scientifiques et des éclairages des mes- sages de l’au-delà. Si nous plongeons chaque soir dans cet océan inconnu qui s’appelle le sommeil, nous allons voir qu’il n’en est pas moins ordonné, composé de différentes phases très précises. Le sommeil et en particulier nos rêves, mériteraient que l’on y songe un peu plus, car ils sont l’une des portes d’accès les plus directes vers notre inconscient. Dormir, c’est enfin l’occasion pour l’esprit, libre de nature, de s’évader un temps, hors du temps, pour prendre une respiration, et son inspiration dans l’au-delà, son milieu originel. C’est alors que, selon notre degré d’évolution et selon notre capacité à profiter des rencontres que la nuit nous amène, nous pouvons être inspirés par nos décorporations nocturnes, pour mieux vivre notre vie diurne.
*Frais de port inclus.
En soixante ans d’une vie, nous aurons passé en moyenne vingt ans à dormir et cinq ans à rêver, ce qui est considérable. Paradoxalement, nous ne nous intéressons en général que trop peu à ce tiers de notre vie, pressée à l’état de veille pour gagner la course contre la montre du quotidien. C’est pourtant cette principale partie de nous-mêmes, dont nous n’avons pas conscience, qui se met à l’œuvre chaque nuit, et qui révèle peu à peu ses mystères, au fur et à mesure de notre évolution, des récits des rêveurs, des recherches scientifiques et des éclairages des mes- sages de l’au-delà. Si nous plongeons chaque soir dans cet océan inconnu qui s’appelle le sommeil, nous allons voir qu’il n’en est pas moins ordonné, composé de différentes phases très précises. Le sommeil et en particulier nos rêves, mériteraient que l’on y songe un peu plus, car ils sont l’une des portes d’accès les plus directes vers notre inconscient. Dormir, c’est enfin l’occasion pour l’esprit, libre de nature, de s’évader un temps, hors du temps, pour prendre une respiration, et son inspiration dans l’au-delà, son milieu originel. C’est alors que, selon notre degré d’évolution et selon notre capacité à profiter des rencontres que la nuit nous amène, nous pouvons être inspirés par nos décorporations nocturnes, pour mieux vivre notre vie diurne.
*Frais de port inclus.
En soixante ans d’une vie, nous aurons passé en moyenne vingt ans à dormir et cinq ans à rêver, ce qui est considérable. Paradoxalement, nous ne nous intéressons en général que trop peu à ce tiers de notre vie, pressée à l’état de veille pour gagner la course contre la montre du quotidien. C’est pourtant cette principale partie de nous-mêmes, dont nous n’avons pas conscience, qui se met à l’œuvre chaque nuit, et qui révèle peu à peu ses mystères, au fur et à mesure de notre évolution, des récits des rêveurs, des recherches scientifiques et des éclairages des mes- sages de l’au-delà. Si nous plongeons chaque soir dans cet océan inconnu qui s’appelle le sommeil, nous allons voir qu’il n’en est pas moins ordonné, composé de différentes phases très précises. Le sommeil et en particulier nos rêves, mériteraient que l’on y songe un peu plus, car ils sont l’une des portes d’accès les plus directes vers notre inconscient. Dormir, c’est enfin l’occasion pour l’esprit, libre de nature, de s’évader un temps, hors du temps, pour prendre une respiration, et son inspiration dans l’au-delà, son milieu originel. C’est alors que, selon notre degré d’évolution et selon notre capacité à profiter des rencontres que la nuit nous amène, nous pouvons être inspirés par nos décorporations nocturnes, pour mieux vivre notre vie diurne.